Mettre à rançon. Il se disait du Vainqueur qui rendait ses prisonniers à la liberté, moyennant une certaine somme ; et d'un Corsaire qui exigeait un paiement en argent pour relâcher un vaisseau marchand capturé. Dans ces deux acceptions il n'est plus guère usité.
Action d'exiger par force une somme d'argent, une contribution de guerre, etc.