Première personne du pluriel au singulier. Qui nous appartient. Plusieurs possesseurs (dont l'un est le locuteur) et un seul objet.
Se disait autrefois par le roi au lieu de « mon, ma » et se dit encore par les évêques dans leur mandements et par les juges.
S'emploie d'une manière indéterminée pour rappeler une personne dont on a déjà parlé.