L'un des deux pluriels de appât, tout au moins le même verbe appâter correspond à deux noms différents; il a été employé au singulier dans la langue classique par Molière, Corneille (ce que Littré signale comme fautif), désignant "ce qui attire" (attraits d'une femme ou attraits d'une chose), usuel au XVIIème siècle, archaïque ou plaisant (au sens des "attraits physiques d'une femme") au XIXème; voir spécialement la signification 3 de la variante orthographique ci-dessous.