Complémenteur pour nominaliser une phrase.
Subordinatif de sens général permettant d'introduire et associer une clause conditionnelle, causale ou déclenchante (voire plusieurs) à celle affirmant la réalisation d'un ou plusieurs effets.
Utilisé au lieu d'une autre conjonction pour éviter la répétition.
Signifie un critère de comparaison.
Pronom interrogatif pour l'objet direct inanimé.
Quoi. Utilisé avec l'infinitif.
Pronom relatif pour l'objet direct.
Sert encore d'attribut dans la proposition qui le suit.
Pendant, lequel, dans lequel, etc.
Précédé de c'est, forme une locution toute faite, c'est … que, qui sert ordinairement à attirer l'attention sur le complément, l'attribut ou l'adverbe qui se trouve placé dans la première partie de la phrase.
Introduit une forme impérative, qui marque souvent un désir davantage qu'un ordre réel, afin qu'une chose (conjuguée au subjonctif) se réalise, à la première personne du singulier ou la troisième personne (au singulier ou pluriel, marquant souvent aussi l'agacement) : l'adverbe seul est très semblable à l'impératif impersonnel sous-entendu « fasse » ou l'indicatif impersonnel il faut, suivi du même subjonctif et relié par la même conjonction de subordination.